À la veille de la Révolution française, le chimiste Antoine Laurent de Lavoisier souffla un vent de réformes sur la science de l’époque.
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Antoine Laurent de Lavoisier (1743-1794), sur un portrait de Garnerey, d’après une peinture de Jacques-Louis David.
Il ne leur a fallu qu’un moment pour faire tomber cette tête, et cent années, peut-être, ne suffiront pas pour en reproduire une semblable.
La réaction du mathématicien Joseph-Louis Lagrange à la nouvelle de la mort d’Antoine Laurent de Lavoisier (1743-1794), guillotiné le 8 mai 1794 avec les anciens fermiers généraux, est le plus bel hommage rendu au grand chimiste. Elle témoigne aussi de l’aveuglement auquel a pu conduire la Terreur.
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