James Webb éclaire les zones d’ombre de l’astrophysique

Véritable bijou de technologie, le télescope spatial James Webb explore depuis plus de deux ans les moindres recoins de l’Univers. De la naissance des planètes à celle des premières galaxies jusqu’à la composition de l’atmosphère des exoplanètes, les premières découvertes de l’observatoire spatial se révèlent exceptionnelles sur le plan scientifique.

L’Univers recèle encore bien des mystères qu’astrophysiciens et cosmologistes s’efforcent de percer à l’aide de télescopes toujours plus puissants. Depuis juillet 2022 et la mise en service de l’observatoire spatial James Webb, cette communauté de chercheurs dispose d’un outil d’analyse à l’acuité inégalée. Conçu à l’origine pour étudier les galaxies les plus anciennes formées quelques centaines de millions d’années après le Big Bang1, le James Webb Space Telescope (JWST) est en mesure d’explorer une palette beaucoup plus vaste de corps célestes. Car avec son immense miroir de 6,6 mètres de diamètre, l’instrument développé par l’Agence spatiale américaine (Nasa) en collaboration avec les agences spatiales européenne (ESA) et canadienne (ASC), dispose d’une sensibilité cent fois supérieure à celle de son prédécesseur, le télescope Spitzer.

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Cet article James Webb éclaire les zones d’ombre de l’astrophysique est paru initialement sur CNRS News National.

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