Si la recherche en physique est souvent associée à des infrastructures techniques aussi gigantesques que le LHC, il lui arrive aussi de s’intéresser aux objets du quotidien. « J’ai depuis très longtemps un intérêt marqué pour les matériaux de la vie ordinaire qui présentent des propriétés extraordinaires, explique ainsi Audrey Steinberger, chargée de recherche CNRS au Laboratoire de physique1. Ma motivation originelle pour l’étude de la physique remonte au collège, quand j’ai appris qu’un solide est normalement plus dense que sa phase liquide, alors que la glace flotte à l’inverse sur l’eau. »
Du textile au métamatériau
Cet article Le tricot, métamatériau du quotidien est paru initialement sur CNRS News National.
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